Puisque la tête et la queue du serpent, symboles du bien et du mal, appartiennent au même être vivant, l’homme doit apprendre à enraciner sa conscience déchue dans la conscience divine qui est en réalité sa propre conscience, sa superconscience.
Les deux arbres du Paradis
Article précédent : Le grain de sénevé
Article suivant : L’alchimie spirituelle