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Livres et enseignements de Krishnamurti
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Jiddu Krishnamurti est né à Madanapalle (Inde) le 11 mai 1895. Il est décédé le 17 févier 1986, dans sa résidence d'Ojai (Californie). En 1912, il se rend en Angleterre où il reçoit une éducation privée. Il s'attache alors à l'écriture de plusieurs recueils de poèmes qui furent publiés en Angleterre et aux États-Unis. En 1929, il récuse le rôle messianique qu'on lui attribue et rompt tout lien avec les religions et les idéologies.
Dès lors, il ne cessera de parcourir le monde pour donner en partage le fruit de son expérience et inviter les hommes à la transformation de leur conscience individuelle, seule source de mutation de la société.
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C'est ainsi que pourraient se définir les trente quatre premières années de la vie de Krishnamurti. A part sa tendre enfance, toute son éducation et son épanouissement se sont réalisés su sein de la Société théosophique.
Comme beaucoup d'êtres d'exception, c'est encore relativement jeune que les grandes lignes de son enseignement furent clairement formulées ainsi que le prouvent les conférences, les séminaires, les causeries qu'il donna jusqu'en 1929 ; en quelques mots celui-ci peut se résumer comme suit : se libérer des contraintes engendrées par l'appartenance aux races, nationalités, religions, classes, traditions, éducation, mais aussi annihiler la personnalité dont un des reflets majeurs est l'égoïsme, rechercher inlassablement la Vérité, etc... et devenir par son propre entendement, son intuition, son éthique, ce que tout homme devrait être : un homme libre autrement dit un adulte.
Cette réédition de textes a pour but de rappeler cette période d'enseignement (1925-1929) qui est pour lui le tremplin d'une vie d'instructeur au service de l'humanité...
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Lorsqu'on s'engage sur le sentier, il est indispensable d'acquérir certaines qualités. Ce sont celles-ci qui se trouvent argumentées, entre aspirants, durant une réunion d'étude qui eut lieu pendant l’été 1924 dans la région du Trentin en Italie. Ces entretiens furent tous faits sous l’inspiration du moment, d’où leur valeur et leur charme.
Pour devenir disciple
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Sans recherche de la Vérité, point de libération ; sans libération, point de bonheur. Krishnamurti nous donne la voie à suivre pour atteindre ce but. Cette réédition de textes a pour but de rappeler la période d'enseignement de 1925 à 1929 qui est pour lui le tremplin de sa vie d'instructeur.
De quelle autorité, qui apporte la vérité ? La vie comme idéal
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Quelques thèmes abordés : la voix de l’intuition, l’intérêt et l’enthousiasme, la personalité, le temple du coeur, la valeur de l’expérience, la compagnie des grandes âmes, l’intelligence créatrice, l’autel du monde, le sacrifice à l’autel, le jardin enchanté, l’éternel compagnon...
Le royaume du bonheur
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Krishnamurti prend place parmi les plus grands esprits vivants de notre temps. Peut-être est-il le seul qui soit vraiment universel. Chez lui, pas d'engagement religieux, politique, ni d'idéologie d'aucune sorte.
Que ce soit aux Indes, aux États-Unis, en Europe, en parlant à des auditoires de plus en plus vastes, dans des séminaires d'étudiants ou dans des écoles, il a rencontré toutes les mentalités, connu toutes les interrogations. Et dans cet inventaire de tous les conditionnements, il montre dans un langage simple, leur mécanisme commun à tous les hommes.
En mettant l'utilisation des facultés intellectuelles à leur juste place, en allant à la racine des mouvements de notre psychisme, il permet à chacun, sans fuir sa vie quotidienne, de découvrir l'intelligence qui transcende la pensée.
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Ce livre est l'un des plus importants que Krishnamurti nous ait donnés car c'est la première fois qu'a été enregistrée une discussion approfondie et suivie entre un grand penseur religieux et un grand physicien. Le point de départ de ces dialogues est la question suivante : " L'humanité a-t-elle fait fausse route, ce qui a entraîné division, conflit et destruction perpétuels ? " La source du conflit de l'humanité est-elle l'incapacité de l'individu à affronter la réalité de ce qu'il " est " psychologiquement, avec pour corollaire la quête chimérique de ce qu'il lui faut " devenir " ? On ne peut se libérer de cette activité égocentrique, irrationnelle et déroutante que grâce à un certain type de vision pénétrante. Celle-ci permet de percevoir que, au-delà de la pensée, il n'y a qu'énergie et forme, pas de " moi ", pas de temps. Krishnamurti insiste sur le fait que le " fondamental " ne peut être approché qu'à partir de la perception directe, lorsque l'esprit est silencieux et vide de pensées. Avec David Bohm, il revient fréquemment sur la nécessité d'une certaine qualité de vision pénétrante qui ne se limite pas à des domaines restreints tels que la science, l'art, la religion.
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Dans ce poème mystique, ce chant d’amour, composé durant la première partie de sa vie (1928), Krishnamurti évoque sa rencontre avec sa nature intérieure, qu’il nomme l’Immortel ami. Un appel de l'âme à l'Autre Ame qui est à la fois Instructeur et Ami. Ces poèmes aident à mieux comprendre la vie de leur auteur et son message.
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